IM
GONNA KILL
YOU ANYWAY
HE'S FUCKING HUNGRY
DINNER & DIATRIBES
Usuellement, le wendigo est associé aux péchés de gourmandise, de cupidité ou d'excès en tout genre. Il n'est jamais satisfait après avoir tué une personne pour la dévorer, et se met constamment à la recherche de nouvelles victimes. Dans certaines traditions, l'homme qui est dominé par la cupidité pourrait se transformer en wendigo, le mythe devenant ainsi une façon de prôner la coopération et la modération.
Le wendigo, émacié à un point extrême, sa peau desséchée tirée et tendue sur ses os.
Son épiderme aussi grise que les cendres et la mort semblait tomber en lambeaux.
Semblable à un cadavre sorti des tombeaux,
Souillé de sang, et de souffrances, il dégageait une odeur étrange et inquiétante de dégradation et de décomposition, de mort et de corruption.
Manifestant son obscure mais majestueuse beauté, il dévorait sans compter.
WENDIGO WENDIGO WENDIGO
WENDIGO WENDIGO WENDIGO
WENDIGO WENDIGO WENDIGO
WENDIGO WENDIGO WENDIGO
WENDIGO WENDIGO WENDIGO
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WENDIGO WENDIGO WENDIGO
WENDIGO WENDIGO WENDIGO
WENDIGO WENDIGO WENDIGO
WENDIGO WENDIGO WENDIGO
WENDIGO WENDIGO WENDIGO
WENDIGO WENDIGO WENDIGO
WENDIGO WENDIGO WENDIGO
WENDIGO WENDIGO WENDIGO
WENDIGO WENDIGO WENDIGO
Le cannibalisme, même pour sauver sa propre vie, est considéré comme étant un tabou. Bien souvent il ne s'agit que de réponses naturelles à la famine puisque sinon c'est le suicide ou l'abandon à la mort assuré.
On raconte que dans des temps plus anciens, le mythe du wendigo aurait peut être servi d'avertissement pour les tribus nordiques dont les hivers étaient longs et rudes, et qui risquaient de ne rien rapporter de leurs chasses durant cette saison. Ainsi il s'agissait d'un moyen d’éviter qu’en cas de famine, ils ne s'en prennent aux membres de leur propre clan. Cette supposition est fondée sur les déformations physiques du wendigo : corps décharné et déformé, sans lèvres, ni orteils, qui font penser aux lésions dues à la famine et aux engelures. En conclusion, le wendigo serait un mythe basé sur la personnification des difficultés de l'hiver et le tabou du cannibalisme
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